Choisir entre néonicotinutela et le chant des oiseaux
Dans les années 2021, 2022, le prix de la moutarde est monté au nez de certains.
En 2025, le prix de la noisette a cassé la noix à d’autres.
Dans les deux cas, les media « main stream » n’ont que discrètement parlé de l’origine de ces désagréables montagnes russes.
Pour la noisette, la récolte turque, première production mondiale, a été très mauvaise cette année, pour cause de gel et de sécheresse.
On nous a rebattu les oreilles sur la nécessité de maintenir l’autorisation des néonicotinoïdes, ces poisons violents mille fois plus toxiques que le DDT pour le monde insecte, donc pour le peuple oiseau – entre autres- Pour « assurer » la production française.
Pour la moutarde dite de Dijon, l’année 2021, au Canada, premier exportateur mondial, la récolte de graines avait été très mauvaise, pour cause de sécheresse.
Si il est impossible de produire des noisettes françaises sans néonicotinoides, il nous faut donc choisir entre le néonicotinutela et le chant des oiseaux qui s’en va.